Je ne suis pas photogénique. Dans une piscine, quand j'ai la tête mouillée, j'ai l'air d'un rat saucé dans l'huile.

Maria Pacôme | Maria sans Pacôme

Photographie de Jamie et une de ses acolytes prise par J. Stephen Hicks pour le site web www.DDGirls.com (2005).
Photographie de Jamie Adams et une de ses acolytes par J. Stephen Hicks pour www.DDGirls.com (2005).

DDGrils.com selon Shou Higashiyama.
Prism #1 de Shou Higashiyama (Chapitre 5, page 140, case 3).

Dans le manga Prism #1 - Chapitre 5 (Higashiyama • Houbunsha) Shou Higashiyama plagie une photographie de Jamie Adams et une amie du site web pour adultes www.ddgirls.com prise J. Stephen Hicks en 2005. Ici, Jamie (aussi connu sous le nom de Adrienne D.) et sa comparse sont remplacées par Megumi Hoshino dit Megu et Hikaru Aihara.

Ce manga a été abandonné au milieu du deuxième tome car l'auteur a eu des problèmes avec la justice pour plagiat et violation de Copyright sur des photos prises sur la toile dont il n'avait pas l'accord des ayants droit. J'en ai encore quelques unes à te montrer dans de futures articles. 😉

 

www.DDgirls.com est un site web pour adultes créé par le photographe, J. Stephen Hicks, au début des années 2000. A l'origine DDGirls était l'acronyme Digital Dream Girls mais depuis quelques années ça a changé pour Digital Desire, et l'url du site s'est elle aussi transformée en www.digitaldesire.com.

Bien que Hicks se défend de ne pas être un producteur de pornographie en argumentant, à raison, que la qualité de son travail met l'accent sur:

[...] le choix des modèles [...], la lumière souvent saturée, parfois très colorée, [...] et la géométrie des compositions, qui révèle et accentue les formes de ses modèles [...]

J. Stephen Hicks

Ok certains clichés comme celui d'aujourd'hui peuvent être classé comme érotique, mais beaucoup d'autres sont pornographiques, jolis et de qualité mais pornographique !

La photographie d'aujourd'hui est tiré d'une série de clichés pris par Hicks montrant d'abord Jamie Adams se déshabiller dans une piscine, puis se faire rejoindre par une compagne de jeux, où elles s'enlacent langoureusement pour un baiser sous-marin, avant de s'adonner à toutes sortes de cascades lesbiennes subaquatiques à faire pâlir un poisson rouge et à rendre marteau un requin ! Haha ! ^^

En amour, il y a un temps pour plonger, mais il faut attendre que la piscine se remplisse si l'on ne veut pas plonger dans un bain de pieds.

Fanny Ardant | 7 à Paris

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