Red Hot 'On the rocks'
02 janv. 2013J'ai hérité de mon père mon insatiable désir de rencontrer les plus belles filles du monde.
Anthony Kiedis
Breaking the girl des Red Hot Chili Peppers (1992).
Beck - Tome 10 de Sakuishi (Page 63).
Dans le manga Beck - Tome 10 (Sakuishi, Delcourt), Harold Sakuishi pastiche un plan du clip vidéo de la chanson Breaking the girl des Red Hot Chili Peppers sur la page d'introduction du chapitre 2 de sa BD. Le chanteur du groupe, Anthony Kiedis, est remplacé par le héros de la série, Tanaka Yukio dit Koyuki.
Breaking the girl est une chanson des Red Hot Chili Peppers. Sorti en 1992, le single est extrait de l'album Blood Sugar Sex Magik. Cette chanson est une ballade lente et émouvante qui se réfère aux relations mouvementées et à la séparation entre le chanteur Anthony Kiedis et sa petite-amie peu de temps avant que l'enregistrement de l'album ne commence.
Le clip vidéo a été réalisé par le français Stéphane Sednaoui qui avait déjà réalisé auparavant celui de Give it away. Alors que ce dernier était mystérieux, celui de Breaking the girl va plus loin, des couleurs vibrantes sont utilisées, l'arrière-plan et les costumes changent sans arrêt, les membres du groupe ont eux-mêmes une apparence et un comportement étrange. On peut ainsi voir Anthony Kiedis avec un look similaire à celui de la princesse Leia, ou encore Flea avec une fleur sur l'oreille.
Breaking the Girl est la première ballade mélodique qui apparaît sur un album des Red Hot Chili Peppers, si on excepte la très courte piste Love and touch'in sur Freaky Styley et la power-ballade Knock me down sur Mother's milk.
[...] Je me suis mis à réfléchir sur moi-même, à me demander si j'étais condamné à répéter le comportement de mon père: butiner de fleur en fleur, ne jamais garder la même copine très longtemps. Je ne voulais surtout pas finir comme [lui]. Malgré l'excitation et l'épanouissement que peut provoquer au début ce défilé constant de jolies filles, au final, on se sent seul, il ne vous reste rien. Les paroles de cette chanson reflètent ces deux points de vue. [...].
Anthony Kiedis
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