Ne joues pas à ça Caroline j'ai déjà été sur ce terrain et tu m'as arrêté net !

Michael Trevino alias Tyler Lockwood | Vampire Diaries

Photographie de Caroline Coombe par Eugene Finkei pour Men Only (1977).

Zara la vampire - Tome 71 de Balzano et Pederiali (Couverture de Biffignandi).

Dans le fumetti Zara la vampire - Tome 71 - "Escroquerie" (Balzano et Pederiali, Elvifrance), Alessandro Biffignandi, l'illustrateur de la couv', pastiche une photographie du magazine Men Only volume 42 numéro 9, paru en septembre 1977, sur la couverture de la BD. Le modèle qui pose sur ce cliché est Caroline Coombe dit Natacha pour ce numéro, et le photographe est Eugene Finkei. Ici, Natacha, donc, est remplacée par Zara Bapst, la vampire.

Pour avoir plus d'informations sur ce magazine pour adulte et voir d'autres parodies de modèles de charme, va faire un tour »ici« où j'ai déjà dévoilé le sujet plusieurs fois. 😉

Le Men Only volume 42 numéro 9 paru en septembre 1977 qui nous intéresse aujourd'hui, met à l'honneur sur sa couverture le modèle Melody. En poster central, on trouve Lana Driver alias Tina Louise sous l'objectif de Barry Vincent. Et sinon l'intérieur, on peut voir d'autres séries de clichés de nue comme Camilla photographiée par Fred Enke, Charlotte par Imex, Melanie Sutherland alias Lou par James Ballard...

... et pour finir, le modèle Caroline Coombe alias Natacha, qui ce fait passer pour une institutrice au d'origine russe et fan de gymnastique, qui, selon ses mots, fait d'elle une déesse de la baise. C'est toujours rigolo de lire les petits paragraphes inventés plein d'imagination (ou pas) que les mecs accolent aux photos de culs !! ^^

Et sinon, on peut aussi lire un article sur l'écrivain dramaturge britannique Cyril Wolf Mankowitz intitulé Wolf Mankowitz with fables for our times, ou sur le journaliste Clifford Michael Irving titré Clifford Irving at sea in style, ou encore des articles comme SCI-FI for addicts et Boggling for the brave...

De Caroline, il restait des photos, des souvenirs de rien. Mais ce qui restait gravé, c'était le sentiment, l'os du sentiment que chacun éprouvait pour elle. Une chose indéfinissable et abstraite...Ce qui reste gravé, c'est le lien. Une chose physique.

Olivier Adam | La messe anniversaire