Les étoiles, brillent dans le ciel comme un tapis de pierres précieuses sur le velours sombre de la nuit.

Richard Dreyfuss alias Roy Neary | Rencontres du troisième type

Rencontre du troisième type de Steven Spielberg.
Rencontre du troisième type de Spielberg (1978).

Rencontre du troisième type selon Michael Avon Oeming. Rencontre du troisième type selon Michael Avon Oeming.
Powers #16 d'Oeming et Bendis (Couverture).

Dans le comics book Powers #16 - "Cosmic, Part 4" (Oeming et Bendis, Icon Comics) Michael Avon Oeming parodie l'affiche du film Rencontre du troisième type de Steven Spielberg, sur la couverture de sa BD.

 

Rencontres du troisième type est un long métrage de science-fiction américain réalisé par Steven Spielberg et sorti dans les salles obscures le 18 novembre 1977. Mettant en scène les acteurs Richard Dreyfuss, François Truffaut, Teri Garr, Melinda Dillon et Bob Balaban dans les rôles principaux, c'est le cinquième film de Spielberg, alors âgé de trente-et-un ans.

Des faits étranges se produisent un peu partout dans le monde: des avions qui avaient disparu durant la Seconde Guerre mondiale sont retrouvés au Mexique en parfait état de marche, un cargo est découvert échoué au beau milieu du désert de Gobi. Dans l'Indiana, pendant qu'une coupure d'électricité paralyse la banlieue, Roy Neary (Richard Dreyfuss), un réparateur de câbles, voit une soucoupe volante passer au-dessus de sa voiture. D'autres personnes sont également témoins de ce type de phénomène: Barry Guiler (Cary Guffey), un petit garçon de quatre ans, est réveillé par le bruit de ses jouets qui se mettent en route. Cherchant à savoir d'où proviennent ces ovnis, Roy Neary se heurte aux rigoureuses consignes de silence imposées par le gouvernement fédéral. Obsédé par ce qu'il a vu et hanté par une image de montagne qu'il essaie désespérément de reconstituer, il est abandonné par sa femme Ronnie et ses enfants. Il n'y a que Jillian (Melinda Dillon), la mère de Barry, qui le comprenne. Parallèlement à ces événements, une commission internationale conduite par le savant français Claude Lacombe (François Truffaut) s'efforce d'en percer le mystère. Une évidence s'impose bientôt à eux: une forme d'intelligence extraterrestre tente d'établir un contact avec les Terriens.

AlloCiné | Rencontre du troisième type

Paul Schrader écrit le scénario original mais le script ne convient pas totalement à Spielberg et il le réécrit entièrement. Le scénariste considère alors le script comme la chose de Steven Spielberg et refuse d'être crédité au générique.

La musique de John Williams est déjà composée avant le montage du film. C'est sa troisième collaboration avec Spielberg qui a donc monté le film en fonction de la musique, à l'inverse de ce qui se fait habituellement. Ensemble, ils estiment que cela donne au film une sensation lyrique propre à son univers. Quant au code musical qui est utilisé pour communiquer avec le vaisseau extraterrestre. C'est un synthétiseur Yamaha SY-2 qui est utilisé pour le tournage de la scène, mais la musique provient de l'orchestre de John Williams. Spielberg demande au musicien un thème musical très simple. Cela s'avère être un véritable défi puisqu'il faut se limiter à cinq notes. Williams propose une multitude de mélodies et c'est -Si bémol Do La bémol La bémol Mi bémol- qui est retenue.

Comme François Truffaut parle très mal anglais, Steven Spielberg accepte qu'il ne parle qu'en français dans la version originale et que David Laughlin, interprété par Bob Balaban, l'assistant de Claude Lacombe, traduise en anglais les propos de son collègue. C'est pourquoi la version française peut parfois paraître étrange, Laughlin ne faisant que paraphraser les dires de Lacombe, voire parler en même temps que lui.

Chacun a toujours, au plus profond de lui-même, un désir secret, un désir plus fort que tout, un désir fou...

Richard Dreyfuss alias Roy Neary | Rencontres du troisième type

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